01 49 18 16 80
ce.0930126g@ac-creteil.fr
Le lycée est ouvert au public
du lundi au vendredi
de 08h30 à 18h00.
54 rue Charles SCHMIDT
93400 SAINT OUEN
54 rue Charles Schmidt
93400 SAINT OUEN SUR SEINE
Accès :
Métro Garibaldi ligne 13
Métro Mairie de Saint Ouen ligne 14
Métro Porte de Clignancourt ligne 4
Tram : Ligne 3b arrêt Angélique Compoint
Porte de Montmartre
Bus : Ligne 137 arrêt Kleber
01.49.18.16.80
HYpokhâgne et Khâgne
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Les enseignements, les résultats, les débouchés, les candidatures
Les Classes Préparatoires littéraires proposent un enseignement supérieur niveau Bac +1 (hypokhâgne) et Bac +2 (khâgne) qui s'inscrit dans le dispositif universitaire européen : Licence, Master, Doctorat (LMD).
Cette formation intellectuelle de haut niveau prépare au concours d'entrée de nombreuses Grandes Ecoles (BEL) tout en garantissant une excellente préparation à une poursuite d'études universitaires.
ENS - BCE - Ecole du Louvre - ISIT
Liste des résultats aux concours
Date à préciser
Samedi 03 février 2024 matin
Les conventions avec les Universités
Les classes préparatoires littéraires accueillent les élèves issus de terminale générale, dans le cadre de la préparation aux concours d’entrée des différentes Grandes Ecoles. La scolarité s'effectue en deux années.
Parcours de haut niveau, s'inscrivant dans le cadre de l’architecture européenne des études (licence – Master – Doctorat), il permet la possibilité d’obtenir des équivalences avec l’Université.
2e Année
1ere Année
Horaires nationaux - Concours Blancs - Equivalences universitaires
Nos points forts
• Des professeurs exigeants et bienveillants. Une équipe administrative à l’écoute.
• Des modules méthodologiques transversaux en début d’Hypokhâgne afin d'apprendre à organiser son travail ou à effectuer des recherches en bibliothèque...
• Aide à l’orientation : les enseignants vous aident à construire progressivement votre projet universitaire et professionnel. Grâce à leurs réseaux professionnels, ils peuvent vous aider à trouver des stages dans les domaines qui vous intéressent.
• Des valeurs d'entraide et de réussite collective.
• Un climat favorable à l'épanouissement intellectuel.
• Des effectifs raisonnables qui permettent un réel suivi.
• Chaque année, des élèves sérieux reçus aux concours
• Un lycée à un quart d’heure du centre de Paris.
• Un étage et un espace de travail réservés aux étudiants : coin cuisine – terrasse - salle de travail - bibliothèque accessibles de 7h45 à 19h.
• Des places réservées pour nos étudiants à l'internat du lycée Angela Davis (Saint-Denis).
• 6 langues proposées : anglais, allemand, espagnol, italien, chinois et latin.
• 5 spécialités en Khâgne : Anglais, Histoire des Arts, Histoire-Géographie, Lettres et Philosophie.
• L’Histoire des Arts en Hypokhâgne et en Khâgne.
• Une journée d'intégration conviviale et enrichissante.
• Des sorties culturelles : musées ou théâtre (partenariat avec la Comédie-Française)…
• Des sorties de terrain : visite d’une AMAP, étude des territoires…
• Des voyages pédagogiques.
Les débouchés
Journalisme : une École supérieure de Journalisme comme le CELSA.
Métiers de la culture : diplôme en patrimoine, en archéologie, en médiation culturelle, en ingénierie culturelle ou en développement intégré des territoires.
Communication : Institut de Stratégie et Techniques de Communication, I.U.P., CELSA…
Aménagement du territoire, gestion des espaces et urbanisme : cette voie a été suivie par des élèves de Khâgne en spécialité Histoire -Géographie ; préparation d’un master permettant ensuite de travailler auprès d’un Conseil Régional ou sur la politique de la ville.
Traduction et interprétariat : l’ISIT (Institut Supérieur d’Interprétariat et de Traduction de Paris) admet les étudiants sur dossier et quelques épreuves complémentaires.
Enseignement : beaucoup de nos étudiants ont passé avec succès le concours de Professeur des écoles, le CAPES et l’Agrégation.
Orthophonie : écoles de Nice, Tours, Paris, ou encore Bruxelles.
Métiers du livre : bibliothèque et édition.
Management culturel : voie accessible par les écoles de commerce de la B.E.L.
Les métiers du commerce : tous les ans nos étudiants intègrent des écoles de commerce.
• Vous êtes inscrit dans un lycée public mais aussi, obligatoirement et en parallèle, dans l’Université de votre choix.
• Vous pouvez obtenir une bourse universitaire aux critères d’attribution plus généreux que pendant les études secondaires.
• Vous ne payez aucun frais de scolarité pendant deux ans.
Je suis un(e) élève de Terminale Générale
intéressé(e) par les sciences humaines, la philosophie, les langues et la littérature…
J'ai envie de développer une bonne culture générale
à travers un cursus pluridisciplinaire à la qualité reconnue.
Je suis motivé(e) et souhaite me dépasser intellectuellement, acquérir des méthodes de travail efficaces, des qualités d'analyse, de synthèse, de rédaction et d'expression orale.
Je veux me donner les moyens de mieux me connaître intellectuellement avant de me spécialiser dans un domaine précis.
L'admission se fait sur dossier par le biais de PARCOURSUP : si les meilleurs élèves y ont leur place, ce ne sont plus les seuls ; nous sélectionnons aussi des élèves qui ont fait preuve de sérieux dans leurs études secondaires et qui manifestent un vrai goût de l’effort et une réelle soif d’apprendre.
Pour moi, la prépa a été un lieu d'enrichissement culturel et de stimulation intellectuelle très important. Les cours m'ont passionnée. J'ai apprécié la dimension pluridisciplinaire de cet enseignement. De plus, l'ambiance était agréable : les élèves se soutiennent, et les professeurs d'Auguste Blanqui sont disponibles pour nos questions et nos inquiétudes.
Après la prépa, je suis entrée à l'École du Louvre pour étudier l'histoire de l'art. Je finis cette année mon master de muséologie dans cette école, et je passe l'année en Erasmus à Bologne, en Italie.
Les enseignements qui me restent de la prépa sont nombreux. Ces années m'ont donné une solide culture générale, ainsi que des qualités rédactionnelles qui me sont encore utiles aujourd'hui. J'ai également appris une certaine rigueur, tant dans le travail personnel que dans le développement d'arguments, ce qui me sert dans les études et le monde professionnel.
J’ai passé trois ans dans la CPGE Auguste Blanqui entre 2014 et 2017. Pendant ces trois ans, j’ai rencontré des personnes de tout horizon, tant étudiants que professeurs, qui m’ont aidé à me dépasser chaque jour. Je reste à ce jour encore en contact avec beaucoup d’entre eux. Cette classe préparatoire offre un contenu de haut niveau, que je n’ai jamais retrouvé à l’université. Ce haut niveau intellectuel peut souvent effrayer, mais au Lycée Auguste Blanqui, personne n’est laissé sur le carreau. L’équipe enseignante m’a toujours suivi, pris le temps (y compris en dehors des cours) pour m’aider. Cette ambiance épanouissante s’accompagne aussi d’un environnement de travail chaleureux avec une salle de travail et une grande terrasse sur laquelle bouquiner.
Après mes trois ans à Blanqui, j’ai fait un master de sciences politiques à l’Université Paris-Nanterre puis Paris II Panthéon Assas. Aujourd’hui, je travaille au Ministère de l’Europe et des affaires étrangères. Dans mon travail de tous les jours, la prépa m’a permis de bien connaitre mon mode de fonctionnement et d’adopter des méthodes de travail efficaces. La culture générale qu’elle m’a apporté a été un élément très positif dans ma poursuite d’études. Enfin, grâce à la prépa Blanqui, mon travail est plus structuré, précis et de meilleure qualité.
Ce que j’ai aimé en prépa à Blanqui, c’est l’intense épanouissement intellectuel dispensé par les cours de nos enseignants. Chaque matière nous offrait d’approfondir un domaine de connaissance avec un spécialiste. Nous pouvions échanger avec nos professeurs, surtout en enseignement de spécialité, où nous formions de petits groupes solidaires. Cette solidarité et cette camaraderie ont également rendu mon passage à Blanqui si marquant. L’atmosphère était joyeuse et studieuse à la fois. La salle de travail était celle des débats et de l’entraide. De Blanqui, j’ai gardé des amis qui me sont toujours proches. Et c’est justement l’intensité intellectuelle de la prépa qui nous a favorisé ces relations.
Après la classe préparatoire, j’ai été à Paris III, où j’ai poursuivi des études de lettres modernes. Parallèlement, j’ai également mené des études de mandarin, car je voulais conserver la multidisciplinarité que j’ai tant aimée à Blanqui. Après mon master de lettres modernes, j’ai préparé avec succès le CAPES et l’agrégation, toujours dans le même domaine. Je suis désormais professeur de lettres dans un lycée général.
Mes années de prépa à Blanqui m’ont habitué à un rythme de travail intense, ce qui est précieux quel que soit le domaine auquel on se consacre. A Blanqui, j’ai également acquis une méthode de travail qui m’a permis de gagner en aisance et en confiance dans mes études ultérieures, mais également dans mon travail de professeur. Je dois cette vocation aux enseignants que j’ai eu la chance de connaître.
J’ai aimé que le programme de première année soit libre et que chaque professeur choisisse ce qu’il enseignera. Même si on peut se dire qu’on revoit telle ou telle œuvre, tel ou tel sujet, on comprend que le professeur nous amène encore plus loin que ce qui a été vu et fait au lycée.
J’ai aimé que les professeurs nous accompagnent et nous encouragent. Ils avaient les mots justes lorsque le moral n’était plus présent. Ils nous poussaient le plus possible afin qu’on puisse donner le meilleur de soi-même. On se rend compte que sans cette pression, nous ne serions peut-être pas aussi à l’aise maintenant, à l’oral comme à l’écrit.
Après la prépa, je me suis inscrite en L3 de LLCER anglais, mineure allemand. Je me suis ensuite dirigée vers un master de Traduction Spécialisée, dans les mêmes langues. La prépa m’a beaucoup servie pour mes années à la faculté. La charge de travail n’était pas aussi importante et j’avançais rapidement dans mes « devoirs ». J’avais des facilités à l’écrit comme à l’oral. Je revoyais des sujets et des exercices déjà effectuées en prépa. Cela pouvait aller de la rédaction, à la version, au thème.
Encore aujourd’hui, en dehors des cours, la prépa me sert. J’écris beaucoup dans mon stage, en anglais comme en français et j’ai remarqué que ma rédaction s’était améliorée en prépa et je ne l’ai pas perdue. Entre autres, j’ai acquis de la culture générale. Cela va du français, au latin, à la philosophie, à l’histoire en passant par l’histoire des arts. Je peux voir un texte et me dire « cela ressemble à telle œuvre ».
La prépa m’a apporté énormément de choses, au niveau culture comme au niveau social. J’ai appris à m’ouvrir, à prendre un petit plus confiance en moi, à ne pas avoir peur de prendre les choses en main. Je me suis fait des amis que je vois encore, des souvenirs que je n’oublierais pas de sitôt. Ce fut une expérience des plus agréables comme des plus fatigantes de ma scolarité, mais je ne regrette rien.
Bonjour à tous ! J’ai effectué une hypokhâgne au sein de la CPGE Auguste Blanqui entre 2014 et 2015. D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours voulu être journaliste. En intégrant la prépa, je souhaitais me préparer au mieux aux concours des différentes écoles de journalisme.
La prépa de Blanqui nous aide à progresser que ce soit aussi bien au niveau de la préparation des concours des grandes écoles que dans la poursuite de nos études dans de meilleurs dispositions, même si votre but n’est pas forcément une grande école. L’équipe enseignante nous aide à avoir une méthode de travail plus précise, une rigueur et la progression au niveau de la culture générale est fulgurante. Certes ce sont des années assez difficiles mais j’ai passé aussi l’une des meilleures années de ma scolarité.
L'équipe pédagogique est avant tout HUMAINE, très à l'écoute et bienveillante. Personne n’est mis de côté. Les effectifs sont assez réduits et nous avions une très bonne ambiance de travail.
Après la prépa, j’ai été à la fac en licence d’anglais à La Sorbonne puis j’ai effectué une école de journalisme ainsi qu’une année de DU de criminologie à l’université Paris II Panthéon-Assas. Souhaitant me spécialiser dans le domaine de la police / justice par la suite. Ainsi cette rigueur et cette culture générale m’accompagnent et ont été des éléments clés dans mon travail de journaliste au sein du groupe Canal+ aujourd’hui. Si vous hésitez encore, pensez à cette phrase de Georges Clémenceau : « Ne réussissent que ceux qui osent oser » !
J’ai intégré la classe préparatoire littéraire du Lycée Auguste Blanqui en 2015 pour un cycle de trois ans. Ces années furent déterminantes pour la suite de mon parcours, m’ouvrant de nouvelles perspectives.
La culture d’excellence de la formation se traduit par des enseignements riches. Grâce à leur qualité j’ai retrouvé le plaisir d’apprendre en développant mon esprit critique. Outre les qualités propres à la formation, j’ai bénéficié de l’esprit solidaire qui caractérise la CPGE du lycée Auguste Blanqui. L’entraide entre étudiants ainsi que la disponibilité des professeurs m’ont permis d’évoluer dans un cadre de confiance. Les exercices répétés de dissertation et de présentation orale structurent la pensée et affinent les capacités d’expression, des atouts qui me sont très utiles dans la suite de mon parcours.
Après trois années passées au Lycée Auguste Blanqui, j’ai voyagé en Argentine dans la cadre d’une année de césure. De retour, je me suis orienté vers la direction de projets culturels dans le cadre d’un master à la Sorbonne Nouvelle. Aujourd’hui, j’effectue mon stage de fin d’études en tant qu’assistant chef de projets au sein de la fondation Hermès.
Tout en renforçant mes capacités d’analyse et d’expression, la classe préparatoire du Lycée Auguste Blanqui m’a permis de rencontrer mes aspirations personnelles et construire mon projet professionnel avec plus de certitudes. Je recommande vivement cette formation.
La diversité des langues et des options rares
• SEBASTIEN MULLIER , Professeur de Lettres Modernes, enseigne la littérature en Hypokhâgne et en Khâgne spécialité Lettres Modernes au lycée Auguste Blanqui depuis 2014. Auteur d’une thèse universitaire, Vénus dans l’œuvre de Mallarmé (du modèle parnassien au poème d’Hérodiade), il est spécialiste de la seconde moitié du XIXe siècle, notamment de la représentation esthétique du corps amoureux (Hugo, Baudelaire, Flaubert, Mallarmé, Verlaine, Rimbaud, Louÿs ou Zola…) ainsi que des rapports entre la littérature et les arts plastiques (il a collaboré avec le musée d’Orsay et le musée Rodin, en France et à l’étranger, au sujet de la peinture, des arts graphiques ou de la sculpture dans le cadre de colloques, de conférences ou de catalogues d’exposition). Des conférences sont disponibles en podcast ; par exemple au musée d'Orsay, "La langue selon Gauguin, ou la vahiné et le corbeau" ou au Grand-Palais, "La Porte de l'Enfer ou le rêve du "livre architectural": Rodin face à Hugo, Baudelaire et Mallarmé". Il est également l’auteur d’une monographie sur la peinture contemporaine, Emmanuelle Amsellem. Vers la couleur cathédrale (Éditions Hermann, 2015). Il prépare actuellement un livre consacré à la critique d’art du XIXe siècle et à l’Impressionnisme.
FANNY LEVIN , Professeure de Lettres Classiques, ancienne élève de l'École normale supérieure de Lyon, et agrégée de Lettres classiques, Fanny Levin a enseigné trois ans le latin et le grec comme Monitrice à l'ENS de Lyon, avant d'enseigner dix ans dans un lycée de l'académie de Créteil.
Ses travaux de recherche portent sur Homère et les Tragiques grecs, dans une perspective anthropologique, littéraire et philologique.
JEAN VIOULAC , Professeur de Philosophie, est agrégé de philosophie, titulaire d’un doctorat consacré à la question du nihilisme ; il a aussi publié plusieurs livres ainsi que des articles en revues universitaires. Après avoir longtemps enseigné en classes terminales dans différents lycées de Seine-Saint-Denis, il est aujourd’hui professeur de philosophie en khâgne au lycée Auguste-Blanqui, également chargé du cours d’initiation aux sciences humaines.
DELPHINE BLITMAN , Professeure de Philosophie, ancienne élève de l’École Normale Supérieure de Paris, professeure agrégée de philosophie et titulaire d’un doctorat en philosophie des sciences cognitives, j’enseigne au lycée Auguste Blanqui depuis 2017, après avoir enseigné 7 ans dans le Supérieur et 5 ans dans différents lycées de l’Académie de Créteil. J’ai à cœur d’accompagner tous les élèves pour qu’ils puissent acquérir une méthode et une culture générale philosophique solides, leur permettant de réussir en khâgne et plus généralement dans la suite de leur parcours universitaire.
JEAN-PHILIPPE CENAT , Professeur d'Histoire, agrégé et docteur en histoire, Jean-Philippe Cénat est avant tout un historien moderniste, spécialiste de l’histoire militaire du règne de Louis XIV. Il a notamment publié Le Roi stratège (PUR, 2010), une étude sur la direction de la guerre au Grand Siècle et deux biographies : une de Chamlay (Belin, 2011), un des principaux conseillers militaires du Roi-soleil, et une autre de Louvois (Tallandier, 2015), son plus grand ministre de la guerre, ainsi qu’un manuel destiné aux étudiants de licence à l’université (Les temps modernes, XVIe-XVIIIe siècle, A. Colin, 2018).
MARIELLE WASTABLE , Professeure de Géographie, docteure et agrégée de géographie, rattachée à l'UMR 8504 géographie-cités, Madame Wastable est spécialiste de la géographie des Etats-Unis et du Canada (par exemple : « Les géographes Français et les Etats-Unis, XXe siècle »,https://journals.openedition.org/amnis/1951), ainsi que de l'histoire et de l'épistémologie de la géographie scolaire (« La notion de belt dans la géographie scolaire française des Etats-Unis »,https://journals.openedition.org/cybergeo/23009).
CLEMENCE TOUBOUL , Professeure d'Anglais, ancienne élève de l'Ecole Normale Supérieure de Lyon, professeure agrégée d'anglais. Mme Touboul a enseigné dans des universités américaines (Cornell, Rutgers) et à la Maison Française de Columbia University. Titulaire d'un master 2 en linguistique à l'Université de Paris III - Sorbonne Nouvelle, Mme Touboul exerce au Lycée Blanqui depuis 2012.
SOPHIE MAZET , Professeure d'Anglais, normalienne, agrégée, professeure au lycée Blanqui depuis 2007, autrice de Manuel d'autodéfense intellectuelle (Robert Laffont, 2015), Prof : les joies du métier (Robert Laffont, 2017) et Autodéfense intellectuelle, le retour : lexique pour esprits critiques (Robert Laffont, 2020).
JULIE LAMOTTE , Professeure d'Espagnol, agrégée d'espagnol, Mme Lamotte a été formée en classe préparatoire au lycée Fénelon, à l'université Paris III - Sorbonne nouvelle et à l'ENS de Lyon en tant qu'auditrice. Après avoir exercé dans le secondaire et en BTS tout en contribuant à la formation des jeunes enseignants, elle enseigne en classe préparatoire économique depuis 2012 ainsi qu'en Hypokhâgne et Khâgne depuis 2015.
HSIAO FLEURY , Professeure de Chinois, professeure agrégée de langue et civilisation chinoises, Mme Fleury est titulaire d'un Doctorat en Littératures française et comparée – Université Paris XII.
SARA DE BENEDICTIS , Professeure d'Italien, professeure agrégée d’italien et titulaire d’un doctorat en Études italiennes. Elle s’est formée à l’école italienne de Paris et à l’université La Sapienza de Rome. Elle est spécialiste de l’œuvre de Pier Paolo Pasolini, de la culture queer et du cinéma militant. Elle enseigne au lycée Blanqui depuis 2013.
FRANCESCA REUTER , Professeure d'Allemand, professeure agrégée d'allemand, ancienne élève de l'Ecole Normale Supérieure de Fontenay / Saint-Cloud, Francesca Reuter est titulaire d'un doctorat sur des questions d'esthétique théâtrale à Berlin au début du XIXème siècle. Après avoir enseigné la littérature allemande pendant 4 ans à l'Université du Maine, Mme Reuter exerce au lycée Auguste Blanqui depuis 2006.
MANON BOSC , Professeure d'Histoire des Arts, ianiste, professeure agrégée de philosophie, et diplômée en psychologie clinique, j’enseigne l’histoire des arts en classes préparatoires ainsi que la philosophie en lycée. Après des travaux de recherche en esthétique et philosophie de l’art, ma découverte de l’enseignement et mon intérêt pour celui-ci m’ont conduite à questionner les enjeux du lien pédagogique, et à travailler, en tant que psychologue, sur l’analyse des effets du discours scolaire sur la subjectivité. Je m’intéresse ainsi particulièrement à la notion de transmission, par les arts comme par l’enseignement.